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La crainte d’un oasien le 29/03/2022 à 16h17

 

DA ZGLGH AR SSIGHIGH 
La crainte d’un oasien !
Selon Wikipedia “Une oasis désigne une zone de végétation isolée dans un désert, aménagée par les humains pour l'agriculture, tirant profit d'une source d'eau”. 
Voilà pour la définition. Mais est-ce qu’une zone de végétation dans un désert sans l’eau d’une source est une oasis ?
La réponse est non ! 
- Une oasis sans eau qui coule en surface n’est pas une oasis. 
- Une oasis dans laquelle l’eau de source a cessé de couler en surface n’est plus une oasis !
Moi qui suis né et qui vit dans une oasis, il m’arrive souvent d’avoir la hantise de voir notre oasis subir ce qui est arrivé ailleurs. La crainte de ne plus voir l’eau couler dans les séguias pour irriguer les champs de luzerne et de palmiers m’attriste rien que de penser à cette triste éventualité. 
Que faut-il donc entreprendre si nous voulons rendre pérennes nos oasis ?
Que faut-il faire si nous voulons que nos oasis continuent tout simplement d’être des oasis?
Je ne sais pas si la sauvegarde du patrimoine oasien fait partie de la mission de l’Andzoa (Agence Nationale pour le Développement des Zones Oasiennes). Car ce qui me semble impératif pour la pérennité des oasis c’est de faire en sorte que les eaux d’irrigation continuent de couler comme avant dans les séguias et que les sources ne tarissent pas.
Pour ce faire, les autorités et la Direction du bassin hydraulique du Tafilalet doivent agir afin d’optimiser les pompages d’eau au niveau de la nappe phréatique. 
Le volume d’eau pompé de la nappe phréatique ne doit pas excéder le volume d’eau qui alimente cette même nappe. Ce qui n’est pas le cas actuellement.
Raison pour laquelle il faut remédier à ce déséquilibre qui risque de nous conduire vers une catastrophe et de ne plus faire de notre oasis une oasis. Cette mission revient à la Direction du Bassin Hydraulique du Tafilalet qui je l’espère dispose de moyens techniques nécessaires et de la volonté d’accomplir cette mission.
Ainsi va Ghriss
Selon Wikipedia “Une oasis désigne une zone de végétation isolée dans un désert, aménagée par les humains pour l'agriculture, tirant profit d'une source d'eau”. 
Voilà pour la définition. Mais est-ce qu’une zone de végétation dans un désert sans l’eau d’une source est une oasis ?
La réponse est non ! 
- Une oasis sans eau qui coule en surface n’est pas une oasis. 
- Une oasis dans laquelle l’eau de source a cessé de couler en surface n’est plus une oasis !
Moi qui suis né et qui vit dans une oasis, il m’arrive souvent d’avoir la hantise de voir notre oasis subir ce qui est arrivé ailleurs. La crainte de ne plus voir l’eau couler dans les séguias pour irriguer les champs de luzerne et de palmiers m’attriste rien que de penser à cette triste éventualité. 
Que faut-il donc entreprendre si nous voulons rendre pérennes nos oasis ?
Que faut-il faire si nous voulons que nos oasis continuent tout simplement d’être des oasis?
Je ne sais pas si la sauvegarde du patrimoine oasien fait partie de la mission de l’Andzoa (Agence Nationale pour le Développement des Zones Oasiennes). Car ce qui me semble impératif pour la pérennité des oasis c’est de faire en sorte que les eaux d’irrigation continuent de couler comme avant dans les séguias et que les sources ne tarissent pas.
Pour ce faire, les autorités et la Direction du bassin hydraulique du Tafilalet doivent agir afin d’optimiser les pompages d’eau au niveau de la nappe phréatique. 
Le volume d’eau pompé de la nappe phréatique ne doit pas excéder le volume d’eau qui alimente cette même nappe. Ce qui n’est pas le cas actuellement.
Raison pour laquelle il faut remédier à ce déséquilibre qui risque de nous conduire vers une catastrophe et de ne plus faire de notre oasis une oasis. Cette mission revient à la Direction du Bassin Hydraulique du Tafilalet qui je l’espère dispose de moyens techniques nécessaires et de la volonté d’accomplir cette mission.
Ainsi va Ghriss
Goulmima le 29/03/2022

 

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