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Jeu dangereux chez Al-Saoud le 08/11/2017 à 21h19

 

DA ZGLGH, AR SSIGHIGH 
Jeu dangereux chez Al Saoud !
Que cache la décision plus que dangereuse que vient de prendre le prince héritier saoudien Mohamed Ben Salman en accusant de corruption et jetant derrière les barreaux de nombreux Émirs et de nombreux anciens ministres saoudiens ? 
Serait-il exact que la démission faite par le premier ministre libanais Hariri à partir de l’Arabie Saoudite était une démission forcée faite sous pression pour ne pas dire sous menace ?
À ma connaissance, c’est la première fois qu’un premier ministre annonce sa démission de l’étranger, même s’il n’est pas exclus que Saad Hariri qui est né à Ryad bénéficie également de la nationalité saoudienne.
Quelles sont les raisons de ce tsunami saoudien ?
Si certains avancent que le but de cette purge entreprise par le prince héritier saoudien est d’assoir son emprise sur les rouages de l’Etat saoudien par l’élimination de tous les princes qui représenteraient une quelconque opposition au clan Selman dans la gouvernance du Royaume wahabite, d’autres disent que ce qui se passe en ce moment au royaume n’est qu’une exécution d’un plan pre-établi par les israéliens et les américains, en rappelant la visite effectuée à Ryad une semaine avant le déclenchement de cette purge par Jared Kushner gendre et conseiller du Président Trump. Cette  supposition plus que plausible, laisserait présager un avenir incertain pour toute la région du Moyen-Orient.
S’il se confirme que la démission de Saad Hariri est effectivement faite sous pression saoudienne, cela ne peut s’expliquer que par le reproche fait aussi bien par Israël et les USA au gouvernement libanais d’avoir perdu le contrôle du Sud Liban au profit du Hizbo-Allah, qui est l’allié et une tête de pont iranienne dans la région. Si à cette situation, on y ajoute la guerre avec les Houtis et les hommes de Saleh au Yémen qui sont aussi des alliés de l’Iran et que les saoudiens n’arrivent pas à gagner malgré  trois ans de combat, puis à cette situation déjà compliquée, ce qui se passe en Iraq et surtout en Syrie où Bechar Assad avec l’aide iranienne est en train de reprendre en main la situation, il n’est pas impossible qu’Israël et l’Administration américaine ait mis en place un plan de pourrissement de la situation pour provoquer une vraie crise et justifier une intervention militaire et une guerre avec l’Iran.
Une supposition cauchemardesque qui expliquerait la purge actuelle qui a lieu en Arabie Saoudite et qui ne serait que de l’enfumage pour brouiller les cartes même si une certaine presse occidentale la décrit comme une avancée du royaume vers le modernisme. 
Les jours et les semaines prochaines ne manqueront pas de nous dire pour qui «roule» le Prince Mohamed ben Salman !
Ainsi va Ghriss.
Que cache la décision plus que dangereuse que vient de prendre le prince héritier saoudien Mohamed Ben Salman en accusant de corruption et jetant derrière les barreaux de nombreux Émirs et de nombreux anciens ministres saoudiens ? 
Serait-il exact que la démission faite par le premier ministre libanais Hariri à partir de l’Arabie Saoudite était une démission forcée faite sous pression pour ne pas dire sous menace ?
À ma connaissance, c’est la première fois qu’un premier ministre annonce sa démission de l’étranger, même s’il n’est pas exclus que Saad Hariri qui est né à Ryad bénéficie également de la nationalité saoudienne.
Quelles sont les raisons de ce tsunami saoudien ?
Si certains avancent que le but de cette purge entreprise par le prince héritier saoudien est d’assoir son emprise sur les rouages de l’Etat saoudien par l’élimination de tous les princes qui représenteraient une quelconque opposition au clan Selman dans la gouvernance du Royaume wahabite, d’autres disent que ce qui se passe en ce moment au royaume n’est qu’une exécution d’un plan pre-établi par les israéliens et les américains, en rappelant la visite effectuée à Ryad une semaine avant le déclenchement de cette purge par Jared Kushner gendre et conseiller du Président Trump. Cette  supposition plus que plausible, laisserait présager un avenir incertain pour toute la région du Moyen-Orient.
S’il se confirme que la démission de Saad Hariri est effectivement faite sous pression saoudienne, cela ne peut s’expliquer que par le reproche fait aussi bien par Israël et les USA au gouvernement libanais d’avoir perdu le contrôle du Sud Liban au profit du Hizbo-Allah, qui est l’allié et une tête de pont iranienne dans la région. Si à cette situation, on y ajoute la guerre avec les Houtis et les hommes de Saleh au Yémen qui sont aussi des alliés de l’Iran et que les saoudiens n’arrivent pas à gagner malgré  trois ans de combat, puis à cette situation déjà compliquée, ce qui se passe en Iraq et surtout en Syrie où Bechar Assad avec l’aide iranienne est en train de reprendre en main la situation, il n’est pas impossible qu’Israël et l’Administration américaine ait mis en place un plan de pourrissement de la situation pour provoquer une vraie crise et justifier une intervention militaire et une guerre avec l’Iran.
Une supposition cauchemardesque qui expliquerait la purge actuelle qui a lieu en Arabie Saoudite et qui ne serait que de l’enfumage pour brouiller les cartes même si une certaine presse occidentale la décrit comme une avancée du royaume vers le modernisme. 
Les jours et les semaines prochaines ne manqueront pas de nous dire pour qui «roule» le Prince Mohamed ben Salman !
Ainsi va Ghriss.
Washington le 08/11/2017

 

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